6 saucisses aux herbes
250 g de lentilles vertes
1 oignon
1 carotte
1 feuille de laurier
1 branche de thym
1 cube de bouillon de légumes
poivre en grains, sel
beurre
Cuisson : 50 mn
Eplucher et émincer l’oignon.
Eplucher la carotte, la couper en rondelles.
Dans une casserole, faire fondre une grosse noix de beurre.
Y verser l’oignon et la carotte, et les faire revenir pendant 5 minutes.
Salez et Ajouter les lentilles, des grains de poivre, le thym et le laurier,
le cube, et couvrir d’environ deux fois le volume d’eau.
Couvrir et laisser cuire environ 25 minutes à feu moyen.
Piquer les saucisses, et les ajouter dans la casserole.
Faire cuire encore 20 minutes.
Pour commencer il faut aller chercher les châtaignes dans les campagnes environnante. Les enfants aiment faire ces randonner à la découverte de la nature.
La recette est très simple pour 1 kg de marrons décortiqué.
1 kg de marrons
750 grammes de sucre
2 verres d’eau
1 gousse de vanille
Faire une entaille sur les châtaignes et faites les bouillir une dizaine de minutes dans de l’eau.
Égouttez-les. Décortiquez-les : la coque et la seconde peaux.
Une fois les châtaignes décortiquées, replongez-les dans une grande casserole d’eau bouillante et laissez cuire de 20 minutes. Quand les châtaignes s’écrasent facilement, elles sont cuites.
Ecrasez au presse purée pour laisser quelques morceaux ou pas. Réservez.
Dans une casserole préparez le sirop : versez l’eau, le sucre et la vanille. Portez tout doucement à ébullition sur feu moyen.
Lorsque le sirop est prêt il faut ajouté la purée de marron. Remuez bien.
Remettre sur le feu.
Pendant se temps préparer les pots laver puis ébouillantés quelques minutes dans un grand volume d’eau et égouttés sur un linge propre.
Au bout d’une dizaine de minutes votre confiture commence à prendre une jolie couleur et une belle consistance de crème. Normalement des petits « volcans » se forment (attention aux projections qui brûlent !).
Vous pouvez verser votre crème dans les pots. Refermés les pots et mettez-leur la tête en bas pour faire le vide, jusqu’à refroidissement.
Se conserve des mois, comme toutes conserves de confiture.
Une recette d’Amandine où on fait de petite meringues banches ou en couleurs. C’est un régal.
-250 grammes de sucre glace -4 blancs d’œufs moyens Astuces!… Bien sortir les œufs au moins 1/4 d’heure avant s’ils sont au frais. Ne surtout pas mélanger les jaunes et les blancs. Vous pouvez ajouter un colorant alimentaire si vous le souhaitez avant de placer la meringue dans la poche. Ajouter une pincée de sel avant de battre les blancs.
1.Battre les blancs en neige ferme puis ajouter le sucre glace petit à petit en continuant de battre. Ils doivent devenir lisses et brillants.
2.les placer dans une poche à douille adaptée.
3.Façonner de petits tas de 3 à 4 cm
4. Enfourner à 120 degrés avec la porte du four entre ouverte pendant 30 minutes à 1h selon la cuisson qui vous plaît. (30 minutes donnera des meringues moelleuses, 1 heure craquantes.)
MERINGUES AMANDINE
HISTOIRES DE MERINGUE
Il y a la meringue italienne, la meringue française, celle du suisse Casparini, celle importée de Pologne à la cour de Louis XV, probablement pas son épouse polonaise… l’histoire de la meringue est riche en hypothèses concernant la création de la meringue…
A L’ORIGINE ÉTAIENT LES OEUFS À LA NEIGE…
Essayons d’y voir plus clair. À l’origine, les œufs à la neige sont apparus – semble-t-il – au XVIe siècle, puis vint l’idée d’y mettre du sucre et de les cuire à feu très doux… Cette technique aurait donné naissance à un gâteau créé en 1720, à Mehringhen, petite ville du duché de Saxe-Cobourg-Gotha, par un pâtissier suisse du nom de Gasparini. Selon certaines hypothèses, cette meringue s’accompagnait déjà très bien de crème Chantilly… On retrouve aujourd’hui, en Suisse cette association de meringue cuite à cœur avec de la double crème. Plus tard, Marie-Antoinette partagea son goût pour le mariage de crème et de meringue. Elle aimait tant cette association qu’elle fouettait elle-même la crème pour la déposer sur ses vacherins. Pour cela, elle n’hésitait pas à revêtir son costume de paysanne, très tendance à la cour de Versailles !
Pour faire la BUCHE DE NOEL CREME DE MARRON il faut:
Pour faire la génoise on à besoin de:
3 œufs
125 grammes de sucre
30 Grammes de farine
3 cuillère à soupe de cacao
250 ml de crème fraîche épaisse
Pour la garniture:
1 Pot de 150 g de mascarpone
1/2 Pot de crème de marron
1 Tablette de chocolat
1 c.a.s d’ Amaretto
125 ml de crème fraîche liquide à 30 %
Préparation:
Préchauffer le four 220°c.
Mélanger les jaunes d’œufs avec le sucre,puis ajouter la farine,le cacao, les 250 ml de crème épaisse.
Monter les blancs en neiges et ajouter délicatement a la préparation.
Mettre sur la plaque du four du papier sulfurisé et verser la pâte dessus bien lisse et plat et mettre au four a cuire 12 minutes.
Une fois cuit je mouille un torchon d’eau. Je le pose dessus, je retourne le gâteau. J’enlève le papier sulfurisé et je laisse refroidir au frigo.
Pendant ce temps je fait mon appareil
Je fais la chantilly avec la crème liquide que je mélangeant avec la mascarpone,la crème de marron, l’amaretto. Je badigeonne bien tout mon gâteau avec la préparation et je le roule
Pour le décor je fait fondre mon chocolat et je le verse sur mon roulé. Puis je met du chocolat sur une feuille que j ai pris sur mon balcon coter nervure
Je la met au congélateur 5 minutes pour qu il durcisse vite.Je décolle le chocolat et je le met sur la bûche. On peut mettre des paillettes alimentaire et quelques déco, et je met au frais.
Le mieux c’est de le faire le jour avant !
Bonne préparation et bonne fin d’année.
ORIGINE DE LA BUCHE DE NOEL
Un biscuit roulé à la vanille, noisette, chocolat ou aux parfums plus exotiques… La bûche de Noël est une pâtisserie incontournable des fêtes de fin d’année. Voici son histoire.
Au départ, la bûche de Noël n’était pas comestible : il s’agissait d’une grande souche de bois que l’on faisait brûler le plus longtemps possible. Elle était décorée de feuillages et de rubans. La tradition a depuis perduré en pâtisserie, où l’on orne la ganache de pièces en sucre et autres confiseries.
La tradition serait née d’un rite marquant la fin du solstice d’hiver, dans les pays du Nord de l’Europe. La génoise roulée que l’on déguste au dessert serait apparue vers la moitié du XXe. Ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que la bûche de Noël se répand dans toute la France puis dans les autres pays francophones.
Une recette de confiture de coing qui me viens de Tunisie que j’ai changé un peu car avant on passer les coing au presse purée.
C’était pas facile à mouliner.
Pour faire la CONFITURE DE COING A LA CANNELLE il faut:
2, kg de coings
1,2 kg de sucre
1 bâton de cannelle
Pour faire la confiture de coing coupez les coings en quatre et pelez et retirez les parties dures
Dans un faitout, faire ramollir les morceaux de coings dans de l’eau bouillante.
Retirez le coings et le mixer avec un peu de jus.
CONFITURE DE COING CANNELLE
Mettre dans un faitout avec la proportion de 2 kg de coings pour 1,2 kg de sucre.
Faire cuir sur feu doux avec la cannelle.
Tourner le plus souvent possible avec une cuillère en bois, attention aux éclaboussure.
Quand la confiture à pris la couleur de la cannelle c est cuit.
Il vous reste à mettre en bocaux.
Fermez et retourner-les.
Laissez refroidir dans cette position
CONFITURE DE COING CANNELLE
Voici la vidéo de la recette de CONFITURE DE COING
Le coing est le fruit du cognassier (Cydonia oblonga). Piriforme et volumineux, il est cotonneux en surface et, à maturité, il est jaune et très odorant.
La maturité complète du coing demande un climat méditerranéen à longue période de chaleur (Portugal, Grèce…). Il peut alors être consommé cru. Dans les régions moins méridionales, au climat tempéré plus frais, ce n’est pas le cas sauf pour certaines variétés à court cycle de fructification (Cognassier Aromatnaya, Cognassier Kuganskaya) qui peuvent parfois arriver à maturité quasi complète par un automne particulièrement chaud. Sinon, les coings restent durs, astringents et acides et ne peuvent être consommés qu’après cuisson. Une ancienne méthode les laissait exposés aux gelées pour les ramollir et éliminer un peu de tanin.
Les fruits sont utilisés principalement pour confectionner des gelées, des confitures, de la pâte ou des gâteaux. Les coings peuvent également être rôtis au four, ou être utilisés dans la préparation de tajines de mouton ou de volaille. Enfin, le coing peut être distillé et l’on en obtient ainsi une liqueur. En Europe de l’Est, le coing est utilisé comme légume, dont on fait une soupe d’hiver, on trouve également de la liqueur.
Le fruit était connu dans la Grèce antique. Sa variété la plus appréciée venait de la région de La Canée (« Kydonia ») sur la côte nord-ouest de la Crète : elle était appelée « μῆλον κυδώνιον (Mêlon Kudonion) », soit « pomme de Cydon », d’où le nom scientifique du genre, « Cydonia », attribué au cognassier.
500 gammes de pâte à pizza
1 kg d’oignons paille émincés.
Huile d’olive
200 grammes d’eau
Des herbes de Provence
Pissalat
Anchois
Olives noires.
Sel
Faire le pissalat avec 2 sardines à l’huile, huile d’olive et 8 filet d’anchois
Mixer les sardines sans les arrêtes avec les filets d’anchois et un peu d’huile d’olive.
Éplucher et émincer les oignons.
Chauffer un fond d’huile d’olive dans une grande cocotte.
Ajouter les oignons, le sel et faire revenir à feu vif puis ajouter les herbes et l’eau et couvrir.
Laisser cuire doucement une bonne heure.
Les oignons vont prendre un superbe aspect fondant.
Si nécessaire retirer le couvercle si toute l’eau n’est pas évaporée
Une fois la cuisson terminé ajouter la moitié de notre pissalat et mélanger avec l’oignon chaud.
Huiler un plat allant au four et garnir le fond du plat de la pâte à pizza. Piquez la pâte avec une fourchette. Laissez la pâte 30 minutes avec une serviette dessus.
Étaler le reste du pissalat sur le fond de la pâte.
Tapisser avec l’oignon au pissalat encore chaud sur le fond de pâte.
Mettre les olives et l’anchois
Préchauffer le four à 240°C.
Enfourner au milieu pour environ 30 minutes environ, la pâte doit être blonde dorée.
une brioche au raisin ducoin c’est un régal, pour le petit déjeuner ou le goûter.
Pour faire la brioche au raisins ducoin il faut
500 grammes de farine 2 œufs + 1 jaune pour la dorure 20 cl de lait 30 grammes de sucre en poudre 2 cuillères à café de sel 20 grammes de levure de boulanger 120 grammes de beurre ramolli 250 grammes de raisins secs rhum
Préparation
Faites tremper les raisins secs dans le rhum pendant au moins 30 minutes.
Délayez la levure dans le lait.
Dans un saladier, versez la farine, cassez l’œuf dessus et ajoutez le mélange lait et levure .
Ajoutez ensuite le sucre et le sel puis mélangez le tout. Pétrissez l’ensemble.
Lorsque la pâte est homogène, incorporez le beurre ramolli
Façonnez la pâte en boule, recouvrez d’un torchon humide et laissez lever pendant 2 heures dans un endroit chaud (la pâte doit doubler de volume).
Faites retomber la pâte en appuyant dessus avec la main et ajouter les raisins secs. Divisez-la en six ou douze boules que vous poserez l’une à côté de l’autre sur une plaque tapisser d’une feuille de cuisson ou beurré simplement la plaque.
Laissez lever pendant encore 1 heure puis badigeonnez de jaune d’œuf battu et enfournez à 180 °C, pendant 30-35 minutes.
Sortir du four et faire refroidir sur une grille. Bonne dégustation.
250 grammes de farine 30 grammes de sucre une pincée de sel 10 grammes de levure de boulanger fleur d’oranger Zeste de citron
Mélanger 250 grammes de farine, avec 30 grammes de sucre, une pincée de sel, et 10 grammes de levure de boulanger. Il faut toujours protéger la levure du sel, car elle n’aime pas le sel. On ajoute 3 œufs et une bonne cuillère à café de fleur d’oranger. On mélange, on pétrit la pâte, cela donne un peu une pâte à brioche.
Quand elle est bien mélangée on ajoute 165 grammes de beurre, que l’on a sorti du frigo, coupés en petit dés. On pétrit, et on la laisse pousser, à peu près une heure.
On dégaze ensuite, on la met au frais pendant deux heures. Puis on l’étale avec le rouleau. On cuit à 170 degrés pendant 10 à 15 minutes. On roule ensuite les bugnes dans le sucre ou on met un zeste de citron frais. Cela donne un petit arôme avec la fleur d’oranger. Bonne dégustation.
Les Grecs fabriquaient une pâtisserie à base de farine et de miel qui était ensuite cuite au four.
De même les Romains connaissaient un genre de pain d’épices qu’ils appelaient « ìpanis nauticusî » ou biscuit de mer qui était frit et recouvert de miel.
Le pain d’épices tel que nous le connaissons serait d’origine chinoise et aurait porté le nom « mi-kongî » (pain au miel).
Il était réalisé à base de farine de froment et de miel, parfumé de plantes aromatiques et cuit au four.
Au XIIIe siècle les Arabes le découvrirent en Chine et les Occidentaux en Terre Sainte, lors des croisades.
Au XVIIe siècle à Nuremberg le pain d’épices était déjà une véritable tradition que l’on trouvait au moment de Noël au Christkindmarkt (marché de Noël).
Au XVIIIe siècle la ville de Reims était réputée pour son pain d’épices grâce aux miels champenois et au savoir-faire inimitable des fabricants.
Les Rémois ont d’ailleurs été baptisés les « mangeurs de pain d’épices ».
À Dijon le premier pain d’épices cité comme tel apparaîssait en 1711.
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